Historique
Le fondateur de L’Homme et l’Environnement a créé l’organisation en 1993 après avoir travaillé comme expert pour les Nations Unies et fait le constat de la limite opérationnelle des méga institutions mais aussi des potentiels de changer les choses.
Dans un pays aussi riche en biodiversité que Madagascar mais avec des populations rurales si pauvre il était clair qu’il fallait travailler à la valorisation économique des ressources naturelles pour motiver à leur gestion durable et de fait de motiver à leur conservation. Les équipes de l’ONG ont travaillé dans un premier temps pendant plusieurs années à la compréhension des problématiques et à l’étude des potentiels des mise en oeuvre de programme sur l’ensemble de Madagascar.
Intéressées par les premiers travaux et la perspective de pourvoir lier lutte contre la pauvreté et conservation de l’Environnement, d’importantes institutions ont financé ces travaux (Coopération Américaine, PNUD, FAO, Coopération Suisse et Française, UICN, l’Alliance Mondiale pour la Nature, etc.). Le travail a été menée en consultation avec la Direction de la gestion des ressources forestière et l’Office National de l’Environnement de Madagascar dans le cadre de ses développement de stratégie environnementale.
À la toute fin des années 1990 il est apparu que si les recomandations apparraissaient intéressantes aux bailleurs de fonds et aux grandes ONG internationales, aucune n’étaient prètes à collaborer suffisament pour mettre en oeuvre des approches holistiques et de chercher à comprendre les modalités complexes de valorisation économiques des ressources naturelles qui puissent servir durablement les communautés locales et la conservation.
C’est ainsi qu’en entendant par un biologiste que la forêt de Vohimana (non protégée bien qu’incroyablement riche en espèces) allait dispara$itre incessament à cause de la déforestation liée à la pauvreté que les équipes de l’ONG ont décidé de relever le défi d’inverser les tendances. L’ONG a proposer au gouvernement malgache de lui laisser développer sur la zone un programme de conservation en collaboration avec les communautés locales. Les autorités ont ainsi en 2001 attribuer un contrat de gestion à l’ONG pour qu’elle puisse y développer un programme de conservation suivant un cahier des charges d’engagement.